En noir et blanc, des métiers racontés par leurs ouvriers.
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Le vannier, le hottier, le jouguier, le galochier, le sellier-bourrelier, les perleuses, le dinandier, le saigneur, les potiers de terre, les charrons.
« Je suis charron-forgeron. J'ai débuté le 15 novembre 1920 en apprentissage à Riom, et puis j'ai fait plusieurs patrons, et puis je me suis mis à mon compte le ler février 1927, cela fait 50 ans cela fait 50 ans bien accomplis.
- J'ai aimé mon métier et je l'aime encore malgré que je sois à la retraite. Je serais heureux qu'un de vos reporters vienne me voir, je vous consacrerai une journée, vous aurez bien des choses à apprendre ».
- C'est par cette lettre surprenante que nous avons fait la connaissance d'Antonin Boissy, charron retrait é à Volvic. Il avait lu un de nos livres et s'adressait à la Société d'Ethnographie du Limousin. Nous lui rendîmes visite plusieurs fois pour comprendre la fabrication de la roue. Par lui, nous connûmes son « maître » Paul Coulomb de Sayat. Mais il nous fallut de persévérantes enquêtes pour percer les secrets du charronnage.
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